ouch’ un poil anxiogène cette affaire mais en même temps… tellement bien vu!
reste à savoir si c’est un bulletin ou simplement une enveloppe qu’il s’agit de mettre dans l’urne… tout ça pour dire qu’à défaut de s’exprimer, signons le registre de vote en attendant que le vote blanc et/ou nul soit reconnu!
le rendez vous face à soit même dans l’isoloir reste précieux même si l’enveloppe est vide!
Anxiogène je ne sais pas, non je ne crois pas, mais c’est la sortie de l’enfance, de la tutelle, de la dépendance: à l’image, au conte, au régime du récit fantasmé qui est problématique dans ce film. Voter c’est accepter de liquider tout cela, de le conserver à l’état de relique. Ce qui nous est aussi suggéré même si on ne dit pas ce qu’est le statut de cette conservation: angoisse, nostalgie, impasse impossibilité, invalidité ??
Le film pose bien aussi la question du visage et de la parole: conditions sine qua non pour qu’il y ait du politique: à savoir de la singularité irréductible et de l’engagement. Évidemment on ne dit pas pour qui ou pour quoi, mais est-ce indispensable ?
Comme d’autres il faut revoir ces films et se laisser porter, ça divague pas mal.
Laurent semble quand même avoir compris une chose : voter ce n’est pas faire de la politique, surtout si, entre deux votes, nous laissons celles et ceux qui font profession de la politique faire tout ce qu’ils veulent sans leur demander des comptes … mais c’est, hélas, bien souvent le cas !
Pourquoi un damier illuminati au début du film ?…
…ou un pavé mosaïque franc-maçon, comme tu voudras…
ouch’ un poil anxiogène cette affaire mais en même temps… tellement bien vu!
reste à savoir si c’est un bulletin ou simplement une enveloppe qu’il s’agit de mettre dans l’urne… tout ça pour dire qu’à défaut de s’exprimer, signons le registre de vote en attendant que le vote blanc et/ou nul soit reconnu!
le rendez vous face à soit même dans l’isoloir reste précieux même si l’enveloppe est vide!
Anxiogène je ne sais pas, non je ne crois pas, mais c’est la sortie de l’enfance, de la tutelle, de la dépendance: à l’image, au conte, au régime du récit fantasmé qui est problématique dans ce film. Voter c’est accepter de liquider tout cela, de le conserver à l’état de relique. Ce qui nous est aussi suggéré même si on ne dit pas ce qu’est le statut de cette conservation: angoisse, nostalgie, impasse impossibilité, invalidité ??
Le film pose bien aussi la question du visage et de la parole: conditions sine qua non pour qu’il y ait du politique: à savoir de la singularité irréductible et de l’engagement. Évidemment on ne dit pas pour qui ou pour quoi, mais est-ce indispensable ?
Comme d’autres il faut revoir ces films et se laisser porter, ça divague pas mal.
Laurent semble quand même avoir compris une chose : voter ce n’est pas faire de la politique, surtout si, entre deux votes, nous laissons celles et ceux qui font profession de la politique faire tout ce qu’ils veulent sans leur demander des comptes … mais c’est, hélas, bien souvent le cas !
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