Où comment la disparition de l’image, la brûlure du film devient brûlure politique, aveuglante et répétitive… Et le temps politique, un espace de répétition permanent, décalage approximatif alimenté par les mêmes idées, les mêmes paroles, les mêmes schémas… Rien ne subsiste que cette amertume d’avoir toujours le même scénario…
On recommence, mais jusqu’à quand ?
Et ces chaises, que font elles, vacillantes, brulées, secouées mais immanquablement prêtent à recevoir, encore ? Frêles et endurantes, disponibles pour le spectacle à revenir. Elles seront toujours là.
« On est la caution on est l’action » ,
et puis, une brèche « Tu ski souvent la nuit? »,
ça se transforme et ça revient, elles seront assidûment là, patiente et préparées.
c’est un film qui met la pression. la répétition est vachement bien trouvée avec le thème, bravo. l’image jaunie, vieillie, toujours la même, toujours ces mêmes bonnes vieilles chaises qui attendent. ça me fait penser aux écoles communales où l’on vote, où tout est vieux et usé, marche encore mais s’use à chaque fois. genre « c’est reparti pour un tour »
La dictature des mots en -tion, on a envie que ça s’arrête et en même temps on est curieux de voir jusqu’où ça va aller… ça interpelle, ça accroche, bravo !
Où comment la disparition de l’image, la brûlure du film devient brûlure politique, aveuglante et répétitive… Et le temps politique, un espace de répétition permanent, décalage approximatif alimenté par les mêmes idées, les mêmes paroles, les mêmes schémas… Rien ne subsiste que cette amertume d’avoir toujours le même scénario…
On recommence, mais jusqu’à quand ?
Et ces chaises, que font elles, vacillantes, brulées, secouées mais immanquablement prêtent à recevoir, encore ? Frêles et endurantes, disponibles pour le spectacle à revenir. Elles seront toujours là.
« On est la caution on est l’action » ,
et puis, une brèche « Tu ski souvent la nuit? »,
ça se transforme et ça revient, elles seront assidûment là, patiente et préparées.
c’est un film qui met la pression. la répétition est vachement bien trouvée avec le thème, bravo. l’image jaunie, vieillie, toujours la même, toujours ces mêmes bonnes vieilles chaises qui attendent. ça me fait penser aux écoles communales où l’on vote, où tout est vieux et usé, marche encore mais s’use à chaque fois. genre « c’est reparti pour un tour »
Ping : -06 « Là, les nécessaires révolutions » | 100 nuits
La dictature des mots en -tion, on a envie que ça s’arrête et en même temps on est curieux de voir jusqu’où ça va aller… ça interpelle, ça accroche, bravo !