Il me semble très juste que la frustration soit un sentiment aujourd’hui très largement répandu et qui peut, à long terme, faire péter des câbles. Lorsque la frustration est existentielle (on n’a l’impression d’être brider dans son existence, je ne parle donc pas d’un petit caprice matériel inutile) elle peut causer de graves dommages. La personne se réfugie peut-être dans la déprime, peut-être dans la violence, peut-être dans la religion, …
J’ai beaucoup aimé, beau travail.
+61: la parole, l’infra, la Villeneuve….
LE CALME SOUFFLE DEHORS
Villeneuve is, Is dead, Is, City and Out, ..
C’est très beau
Le film, court, poignant avec un vélo qui sort un peu de nulle part mais au fond qui pourrait représenter le déroulement de la vie de cet homme: sa selle comme son ancrage dans son quartier, le sol sur lequel il roule comme les événements qu’il doit traverser, son guidon comme ses choix qui ont guidé son chemin, ses vitesses comme ses « pétages de plomb », etc…Un film épuré, vrai
enfin vu !
il est bien cool, j’adore les images de contre-jour avec soleil (couchant ?). et les gros plans. et le texte nous rappelle qu’effectivement la normalité de ces « espaces » est toujours passée sous silence au profit de ce qui claque, ce qu’on retiendra…
beau vélo aussi
biz.
Il me semble très juste que la frustration soit un sentiment aujourd’hui très largement répandu et qui peut, à long terme, faire péter des câbles. Lorsque la frustration est existentielle (on n’a l’impression d’être brider dans son existence, je ne parle donc pas d’un petit caprice matériel inutile) elle peut causer de graves dommages. La personne se réfugie peut-être dans la déprime, peut-être dans la violence, peut-être dans la religion, …
J’ai beaucoup aimé, beau travail.
+61: la parole, l’infra, la Villeneuve….
LE CALME SOUFFLE DEHORS
Villeneuve is, Is dead, Is, City and Out, ..
C’est très beau
Le film, court, poignant avec un vélo qui sort un peu de nulle part mais au fond qui pourrait représenter le déroulement de la vie de cet homme: sa selle comme son ancrage dans son quartier, le sol sur lequel il roule comme les événements qu’il doit traverser, son guidon comme ses choix qui ont guidé son chemin, ses vitesses comme ses « pétages de plomb », etc…Un film épuré, vrai
enfin vu !
il est bien cool, j’adore les images de contre-jour avec soleil (couchant ?). et les gros plans. et le texte nous rappelle qu’effectivement la normalité de ces « espaces » est toujours passée sous silence au profit de ce qui claque, ce qu’on retiendra…
beau vélo aussi
biz.