Où l’on pense aussi aux questions soulevées par Pilar Monsell dans « + 46″, et au texte de Pascal Boissel » Etre civilisé. Contre Guéant », dans 100nuits. http://www.100jours2012.org/ nuits/2012/02/10/85-etre-civilise-contre-gueant/
Merci Jérémie!
beau film qui nous donne à réfléchir d’une autre place et du coup en boomerang, les paroles de sarkozy sont d’autant violentes. j’apprécie aussi le rythme qui permet de créer de l’espace à la parole
J’ai oublié comment ce discours était pas seulement puant mais aussi stupide et vide.
Vu ce qu’on nous sert comme Progrès, ou plutôt ce qu’on nous impose, être incapable de s’adapter à cette notion (la leur) de modernité est pour moi plutôt un avantage et montre notre intelligence plutôt que la « barbarie ».
Gardons le lien avec la nature, beaucoup l’ont perdu partout dans le monde, et surtout en Afrique. Il n’y a rien de plus beau que de trouver le temps de vivre et apprécier les les saisons, cet éternel recommencement.
Et quant à « la répétition sans fin des mêmes gestes et des mêmes paroles » c’est justement ce qui se passe aujourd’hui en France à la veille des élections, et où la scène politique devient « cet imaginaire où tout recommence toujours et où il n’y a de place ni pour l’aventure humaine ni pour l’idée de progrès ».
Mon idée du progrès et de l’aventure humaine.
Résistons contre le système, restons sauvages.
… Et de nous démentir le fait que Dakar se trouve en Argentine – malgré ce que tentent de nous faire les organisateurs d’un célèbre trophée auto-moto (enfin, je crois pas… si?!)
(merci Jérémie pour ce court coup dans la face, parce que quand même…)
Un rappel intéressant sur la persistance du « fardeau de l’homme blanc ».
Avec les amitiés du groupe de belges du TGV du 6 février.
(Pardon d’avance de « troller » la vidéo, mais …)
Bon anniversaire Ben ! :^D
Où l’on se rend compte que la figure imposée du travelling en voiture devient considérable, lorsque utilisée au bon rythme, au bon moment.
Le dernier plan du film est bouleversant.
Bravo Jérémie, ce film est une perle.
cinglant et précis.
heureusement qu’il y a des traces comme celle-ci des bourdes trop nombreuses de sarkosy, tellement nombreuses qu’on finit par les oublier. et pourtant quand on réécoute ça, il y a de quoi tomber de sa chaise.
et c’est vrai que le plan de l’autoroute est super beau, paisible et inquiétant.
bravo Jérémie.
Belle analyse d’un discours scandaleux d’un petit homme blanc imbu de sa personne et fier de sa civilisation qui mène le monde à la catastrophe écologique et qui se montre incapable, ce monde, de réagir au nom du « progrès », de la « croissance », de la « modernité », autant de concepts dévoyés par le fric : tant que l’appât du gain sera le moteur essentiel de cette civilisation, il est certain qu’elle ne pourra jamais redonner un sens humain à ces mots.
Très bon film, cinglant et précis effectivement, efficace et beau.
Ce film est un mensonge de plus.
Vous oubliez de dire que le FLN a égorgé un grand nombre de Pieds-Noirs en 62 et que les Indépendances Africaines ont rendus les Noirs encore plus malheureux.
Honte à vous de propager des idées pareilles aux générations futures.
Ce n’est certainement pas la honte auquel vous pensez qui m’assaille. S’il y a bien une honte que je ressens, ce serait de ne pas faire assez pour mes semblables, de ne pas travailler plus avec mes contemporains pour construire ensemble, de ne pas réfléchir plus longuement sur NOTRE passé, sur nos erreurs, sur nos conneries, sur nos tentatives, sur nos réussites et nos échecs. Si une honte me terrasse, c’est celle de ne pas dépenser encore plus d’énergie à combattre votre odieuse simplification intellectuelle de « Noirs » et « Indépendance Africaine », comme si des millions d’individus, de parcours et un continent se résumait à trois mots dans un commentaire.
Ma honte serait de vous laissez figer et pourrir dans le marbre des institutions certaines valeurs que vous avez peut-être oublié.
« les Indépendances Africaines ont rendus les Noirs encore plus malheureux » ? Mais comment pouvez-vous en toute honnêteté proférer une telle phrase, si vide, si insipide, si coloniale, si impérialiste, si dominatrice, si prétentieuse, si insultante ?
Ma honte serait d’oublier que l’émancipation individuelle et collective n’est pas qu’un vague concept galvaudé, mais une nécessité, hier comme aujourd’hui et comme demain. Une nécessité complexe, avec beaucoup d’enjeux et de problèmes, de luttes et d’essais, d’erreurs et d’irréparables, de joies et de désirs.
Mais je tiens à vous dire merci quand même, j’avais presque oublié pourquoi je participais et donnais mon temps à un projet comme 100jours, vous venez de me rappeler quelques fondamentaux.
Ben, je suis content de voir que tu es d’attaque, et qu’un petit canular de ma façon te fais réagir aussi vivement. Sans rancune
Où l’on pense aussi aux questions soulevées par Pilar Monsell dans « + 46″, et au texte de Pascal Boissel » Etre civilisé. Contre Guéant », dans 100nuits.
http://www.100jours2012.org/ nuits/2012/02/10/85-etre-civilise-contre-gueant/
Merci Jérémie!
beau film qui nous donne à réfléchir d’une autre place et du coup en boomerang, les paroles de sarkozy sont d’autant violentes. j’apprécie aussi le rythme qui permet de créer de l’espace à la parole
J’ai oublié comment ce discours était pas seulement puant mais aussi stupide et vide.
Vu ce qu’on nous sert comme Progrès, ou plutôt ce qu’on nous impose, être incapable de s’adapter à cette notion (la leur) de modernité est pour moi plutôt un avantage et montre notre intelligence plutôt que la « barbarie ».
Gardons le lien avec la nature, beaucoup l’ont perdu partout dans le monde, et surtout en Afrique. Il n’y a rien de plus beau que de trouver le temps de vivre et apprécier les les saisons, cet éternel recommencement.
Et quant à « la répétition sans fin des mêmes gestes et des mêmes paroles » c’est justement ce qui se passe aujourd’hui en France à la veille des élections, et où la scène politique devient « cet imaginaire où tout recommence toujours et où il n’y a de place ni pour l’aventure humaine ni pour l’idée de progrès ».
Mon idée du progrès et de l’aventure humaine.
Résistons contre le système, restons sauvages.
… Et de nous démentir le fait que Dakar se trouve en Argentine – malgré ce que tentent de nous faire les organisateurs d’un célèbre trophée auto-moto (enfin, je crois pas… si?!)
(merci Jérémie pour ce court coup dans la face, parce que quand même…)
Un rappel intéressant sur la persistance du « fardeau de l’homme blanc ».
Avec les amitiés du groupe de belges du TGV du 6 février.
(Pardon d’avance de « troller » la vidéo, mais …)
Bon anniversaire Ben ! :^D
Où l’on se rend compte que la figure imposée du travelling en voiture devient considérable, lorsque utilisée au bon rythme, au bon moment.
Le dernier plan du film est bouleversant.
Bravo Jérémie, ce film est une perle.
cinglant et précis.
heureusement qu’il y a des traces comme celle-ci des bourdes trop nombreuses de sarkosy, tellement nombreuses qu’on finit par les oublier. et pourtant quand on réécoute ça, il y a de quoi tomber de sa chaise.
et c’est vrai que le plan de l’autoroute est super beau, paisible et inquiétant.
bravo Jérémie.
Belle analyse d’un discours scandaleux d’un petit homme blanc imbu de sa personne et fier de sa civilisation qui mène le monde à la catastrophe écologique et qui se montre incapable, ce monde, de réagir au nom du « progrès », de la « croissance », de la « modernité », autant de concepts dévoyés par le fric : tant que l’appât du gain sera le moteur essentiel de cette civilisation, il est certain qu’elle ne pourra jamais redonner un sens humain à ces mots.
Très bon film, cinglant et précis effectivement, efficace et beau.
Ce film est un mensonge de plus.
Vous oubliez de dire que le FLN a égorgé un grand nombre de Pieds-Noirs en 62 et que les Indépendances Africaines ont rendus les Noirs encore plus malheureux.
Honte à vous de propager des idées pareilles aux générations futures.
Ce n’est certainement pas la honte auquel vous pensez qui m’assaille. S’il y a bien une honte que je ressens, ce serait de ne pas faire assez pour mes semblables, de ne pas travailler plus avec mes contemporains pour construire ensemble, de ne pas réfléchir plus longuement sur NOTRE passé, sur nos erreurs, sur nos conneries, sur nos tentatives, sur nos réussites et nos échecs. Si une honte me terrasse, c’est celle de ne pas dépenser encore plus d’énergie à combattre votre odieuse simplification intellectuelle de « Noirs » et « Indépendance Africaine », comme si des millions d’individus, de parcours et un continent se résumait à trois mots dans un commentaire.
Ma honte serait de vous laissez figer et pourrir dans le marbre des institutions certaines valeurs que vous avez peut-être oublié.
« les Indépendances Africaines ont rendus les Noirs encore plus malheureux » ? Mais comment pouvez-vous en toute honnêteté proférer une telle phrase, si vide, si insipide, si coloniale, si impérialiste, si dominatrice, si prétentieuse, si insultante ?
Ma honte serait d’oublier que l’émancipation individuelle et collective n’est pas qu’un vague concept galvaudé, mais une nécessité, hier comme aujourd’hui et comme demain. Une nécessité complexe, avec beaucoup d’enjeux et de problèmes, de luttes et d’essais, d’erreurs et d’irréparables, de joies et de désirs.
Mais je tiens à vous dire merci quand même, j’avais presque oublié pourquoi je participais et donnais mon temps à un projet comme 100jours, vous venez de me rappeler quelques fondamentaux.
Ben, je suis content de voir que tu es d’attaque, et qu’un petit canular de ma façon te fais réagir aussi vivement. Sans rancune
Et désolé pour cette mauvaise blague, mais après la conférence d’hier soir (http://flblb.com/Comment-raconter-l-histoire.html), où nous nous sommes fait prendre à parti par Le Cercle des Algérianistes du Poitou (http://www.cerclealgerianiste.asso.fr/), je n’ai pas pu résister…