A. B. C. D. E. F. G. H. J. K. L. M. N. P. R. S. T. V. W. Y. Z.
Luis Argeo
Luis Argeo (Asturias, 1975) es licenciado en Ciencias de la Información por la UPSA de Salamanca. Compagina la escritura de libros y reportajes de viajes con la realización de vídeos y películas documentales. AsturianUS (2006) fue su primer proyecto documental como guionista, productor y realizador, al que le han seguido pequeñas piezas audiovisuales como Balta (2008) y La casa de la abuela Marina (2008). Su segundo largo documental, Corsino, by Cole Kivlin (2010) participó en festivales de cine independiente como el FICXixón (España) o el BAFICI (Argentina). En 2011 realizó el conjunto de Ocho vídeo-retratos para la exposición colectiva Retrato de Familia. En la actualidad, desarrolla en colaboración con el cineasta Ramón Lluis Bande un proyecto de cine expandido titulado (ende).
Luis Argeo (Asturies, 1975) a une maîtrise en Sciences de l’information à l’Université de Salamanque (Espagne). Son activité rassemble l’écriture de livres et de reportages de voyages, la réalisation de vidéos et de films documentaires. « AsturianUS » (2006) fut son premier projet documentaire comme scénariste, producteur et réalisateur. Par la suite il a réalisé de petits sujets audiovisuels comme « Balta » (2008) et « La casa de la abuela Marina » (La maison de la grand-mère Marina) 2008. Son deuxième long métrage documentaire « Corsino, by Cole Kivlin » (2010) a participé à plusieurs festivals de cinéma indépendant comme le FICXixón (Gijon, Espagne) ou le BAFICI (Argentine). En 2011 il a réalisé l’ensemble huit vidéo-portraits pour l’exposition collective « Portrait de Famille ». Actuellement il travaille en collaboration avec le cinéaste Ramón Lluis Bande sur un projet de cinéma étendu intitulé « (ende) »
Hélène Audoyer
Je vis « entre » Bordeaux et Paris, comme on dit, c’est-à-dire que je transporte souvent d’un lieu à l’autre les images, récits ou objets trouvés que je monte et réorganise sortis de leur contexte d’origine…
Abdallah Badis
Premier boulot l’usine et rencontre à 20 ans avec René Allio qui l’intègre à son équipe pour Rude journée pour la reine. Enchaine ensuite divers métiers, en 1979 fait le conservatoire national de cirque et mime chez les Grüss. depuis 1981, premier spectacle au TNP Villeurbanne, travaille au théâtre comédien et metteur en scène dans des créations essentiellement contemporaines. et depuis 2000, c’est le cinéma qui le gratte
réalisations: Une vie française, moyen métrage 56′ Prix de la Qualité du CNC et Étoile de la SCAM 2011. Le chemin Noir, long métrage sélectionné à Lussas et de nombreux autres festivals sort en salle ce printemps 2012.
Irene Bailo
Je suis née à Saragosse et j’ai vécu à Fraga (Huesca) jusqu’à 18 ans. J’ai étudié en Communication Audiovisuelle à l’Université Pompeu Fabra de Barcelone et en Arts du spectacle à Bordeaux. Après avoir fait plusieurs courts métrages et des ateliers vidéo et cinéma dans différentes structures (Ecole de cinéma Un perro andaluz, TRAMA, CPR Huesca…) j’ai complété ma formation au CREADOC, Master documentaire de création à Angoulême. Actuellement, je colabore dans la coopérative Drac Magic à Barcelone.
Julien Baroghel
Après des études de sociologie et d’ethnologie à l’université de Nanterre, je fais, en 2008, un premier voyage en Afrique, au Togo, où je réalise mon premier film documentaire, regard à la fois critique et comique sur la rencontre entre un groupe de jeunes français lancés dans un projet associatif et la vie togolaise. Au cours de cette même année je pars en Algérie afin de réaliser un travail photographique sur la vie quotidienne d’une famille kabyle. Après ces premières expériences j’intègre le CREADOC (master professionnel de création documentaire, Angoulême) où je réalise trois documentaires sonores (Chroniques de la permanence et du changement, Pavillon noir, L’invité) et deux court-métrages dont mon film de fin d’études A la dérive.
Séréna Benccalh
Chemine depuis 7 ans sur les sentiers du cinéma documentaire, réalisatrice à tendance fantaisiste naïve. Monteuse à ses heures, elle aime aussi à porter les films d’autres réalisateurs, tant du coté de la production, que de l’édition dvd. A tendance ces derniers à
s’égarer du coté de la musique.
Black Ice
Collectif Black Ice crée il y a deux ans et constitué de personnes d’horizons divers liés par des pratiques politiques et un désir de cinéma.
Laure-Anne Bomati
Au Maroc où elle grandit, Laure-Anne découvre un attrait vers le Canon de son père. A Bruxelles durant son adolescence, elle rêve de cinéma. Lors d’un voyage au Maroc à 17 ans, elle se dit que ce sera le documentaire…
Mais à 18 ans, elle s’inscrit en fac d’histoire.
Elle va jusqu’à la maîtrise à l’Université de Paris I et se spécialise petit à petit en histoire de l’Afrique noire, du Moyen-Orient et du Maghreb. Mais en même temps que sa maîtrise, elle s’inscrit à un cours de photo argentique à Paris et passe des heures dans le labo.
Après sa maîtrise, en 2005, devant le choix qui lui est offert de se tourner vers la recherche ou vers l’enseignement, elle s’inscrit en Master documentaire de création radio et vidéo d’Angoulême (Creadoc).
Elle fonde ensuite, en 2009, l’association A brûle pour point avec Fabien Dardennes et Juliette Le Roux, à Nantes.
Entre 2007 et 2011, elle réalise quelques créations sonores. En ce moment, elle monte un film, écrit d’autres projets…
Anthony Bonnin
Je suis brun mais j’ai le cheveu grisonnant. Je mesure 1m83 mais je ne me souviens jamais si triche d’un centimètre ou pas. J’ai l’impression de savoir faire des choses mais j’aurais peut-être préféré n’en savoir qu’une. J’aime imaginer des projets mais je prends moins de plaisir à les réaliser. Je me dis que je pourrais vivre n’importe où mais, objectivement, je suis désespérement planté à Poitiers. Je voudrais exprimer un avis tranché sur les choses, mais depuis cinq ans, je ne vais même plus voter. Je crawle mille mètres tous les deux jours mais je me force tous les quatre. J’ai obtenu un diplôme de création documentaire mais je n’ai jamais voulu m’y mettre car, petit, je voulais piloter des avions. Je cherche le meilleur pour +57 mais j’ai peur de refaire 38%. J’aime les voitures de luxe mais je n’ai ni les moyens ni l’envie d’en posséder une. J’aimerais ne pas être au chômage mais je préfère aller au café. J’aime manger des tourteaux fromagers entiers mais je ne suis pas toujours satisfait après les avoir ingurgités. Je m’ennuie souvent au cinéma mais j’y retourne avec envie. J’aimerais sauter en parachute mais j’ai peur du vide. Je rénove une maison pour un optimum de confort mais celle-ci reste un chantier laid, froid et poussiéreux. Je veux vieillir en bord de mer mais je ne suis pas sûr d’y parvenir. Je ne sais jamais comment parler de moi mais au moins je respecte le nombre maximal de mots pour le faire.
Jérémie Bretin
Titulaire d’un master de réalisation de documentaires de création – CREADOC (Angoulême) – je partage mon temps entre les court-métrages, l’Ecosse et le jardinage…
Amy Carroy
Vidéaste touche-à-tout, je m’inscris avec joie dans des collaborations diverses et variées. Coordinatrice de l’association la Famille Digitale, j’aime aussi aller à la découverte sur des chemins de traverses et essayer d’autres cordes à mon arc..
Lætitia Carton
Je suis née en 1974 à Vichy. Sous la pression sociale d’avoir « un vrai métier », j’entame des études de psycho à Clermont-Ferrand pour devenir éducatrice spécialisée. Un jour, en allant à la fac, je passe devant l’école des Beaux Arts et voit une affiche qui annonce le concours d’entrée. J’entre. Cinq ans plus tard j’en ressors avec le diplôme national supérieur d’expression plastique en poche. Après un retour à la terre, et avoir retapé la maison de mes arrières grands parents, je quitte l’Allier en 2003, et passe une année en Post-diplôme à l’Ecole d’art de Lyon. Jean Pierre Rhem, mon « tuteur », m’y fait découvrir le cinéma documentaire. Je trouve enfin « ma place ». Je pars vivre un an en Ardéche, à Lussas, au sein du Master II de réalisation documentaire de création en 2005. Mon film de fin d’étude, « D’un chagrin j’ai fait un repos » fait le tour du monde et m’amène jusqu’à Cuba. Depuis je fais des films. Je prépare depuis 7 ans un long métrage sur le monde de Sourds. J’ai réalisé, entre temps, mon premier long-métrage « La pieuvre » en 2009. Je termine en ce moment un film à 4 mains avec Edmond Baudoin, auteur de Bandes dessinée et en prépare aussi un autre sur ma difficile relation à Vichy, ma ville natale. Je vis, heureuse, sur le plateau de Millevaches depuis 3 ans.
Adrien Charmot
Après son obtention en 2005 d’un diplôme d’assistant réalisateur et de scripte pour le cinéma de fiction au Conservatoire Libre du Cinéma Français, il participe en tant que scripte à plusieurs films courts de fiction qui l’amènent à reconsidérer son rapport au cinéma et à se tourner vers une forme libre et inventive du cinéma documentaire.
Ainsi, il intègre en 2006 le Master Réalisation de documentaire de création de CREADOC à Angoulême après avoir passé sa licence Cinéma à l’Université Paris 8.
Il réalise alors, un documentaire sonore « Les encombrants », immersion dans un quartier populaire d’Angoulême en pleine réhabilitation, pour lequel il obtient la 3ème place au prix nagra-france audio en 2007 au festival Longueurs d’onde à Brest.
Puis, il se consacre à l’écriture et la réalisation de « L’innocence », film autobiographique qui aborde la question du traumatisme. En 2008 et 2009, le film est sélectionné dans de nombreux festivals et reçoit plusieurs prix : le prix des formations audiovisuelles aux Rencontres Traces de Vie à Clermont-Ferrand, le prix du scénario aux Rencontres Internationales Henri Langlois, le prix Mario Ruspoli au festival Jean Rouch à Paris et la clef d’or au festival CinéVidéo Psy de Lorquin.
La même année, il assure la prise de son et le montage du film de Jenny Saastamoinen «Loin de moi» , prix des écoles et formations aux Ecrans documentaires d’Arcueil en 2008.
Depuis 2010, il est programmateur de la structure associative de diffusion de la création documentaire « L’oeil lucide » pour laquelle il organise les Rencontres du Réel, festival de films et de création sonore, et anime un atelier de programmation et des projections dans un hôpital psychiatrique.
En 2011, il collabore en tant que monteur à « Portraits Idiots » de Marie Doria, film documentaire qui retrace l’expérience vécue par les danseurs de la compagnie Robinson pendant le temps d’une résidence.
Il est une nouvelle fois amené à travailler avec Jenny Saastamoinen, au montage de « Voix du dedans », un documentaire sonore en milieu carcéral, sélectionné au festival longueur d’ondes à Brest.
Il collabore avec elle à l’écriture de « Traverser », un film en forme de quête des origines en Finlande, pour lequel il effectue la prise de son lors de son voyage sur place.
Ismaël Cobo
Je réalise des films documentaires depuis une quinzaine d’années. Mes films traitent principalement de trajectoires ; émigrations et exils. Mon inspiration est fortement influencé par l’histoire républicaine espagnole de mon père.
Lucile Cordonnier
Après avoir effectuer une licence d’histoire, je me suis tournée vers le documentaire, j’ai fait le master professionnel en cinéma documentaire au Creadoc d’Angoulême. Aujourd’hui je réalise des documentaires et petites créations sonores et audiovisuelles.
Maxime Coton
Maxime Coton est né en 1986, à La Louvière. Il a étudié à l’INSAS, en option son. C’est là qu’il concrétise les passerelles entre ses différentes passions (la musique et l’écriture), découvre l’art radiophonique, les musiques électroacoustiques et le cinéma. Aujourd’hui, outre des collaborations en tant que preneur de son et monteur son, il mène ses propres projets en tant que réalisateur, poète et musicien, et s’investit dans des structures éditoriales (éd. Tétras-Lyre) et de production audiovisuelle (Bruits asbl).
Sebastien Coupy
Seb Coupy, est un cinéaste documentariste né en 1971 à Genève.
http://www.film-documentaire.fr/Sebastien_Coupy.html
http://fr.wikipedia.org/wiki/Seb_Coupy
Vincent Croguennec
Je suis né à Morlaix (29), et je vis à Saint-Denis (93), où je travaille dans un atelier, le cabinet Patte-Pelu.
Fabien Dardennes
Nous vivons dans un monde de plus en plus individualiste, où la question de l’Homme est souvent effacée par celle de l’économie. C’est à partir de ce constat qu’est née mon envie de réaliser des documentaires, l’envie de remettre l’Homme au centre des questions, de réfléchir sur le monde qui m’entoure, de donner la parole à ceux qui ne l’ont pas. Dans ce sens, j’ai fait un BTS audiovisuel en option production (2001-2003), puis une Licence et un Master 1 en Fac d’Arts du spectacle option cinéma (2003-2006). J’ai par la suite intégré le master de réalisation de documentaire CREADOC à Angoulême (2006-2008). Au sein de ce master j’ai réalisé deux documentaires sonores autour du rapport au travail (« L’histoire d’un petit étudiant » et « Le bilan ») et un documentaire audiovisuel (« Les feuilles de l’arbre ») sur les personnes âgées en maison de retraite, et plus précisément sur le temps dans lequel vivent ces personnes. Par la suite, au sein du collectif A brûle pour point, j’ai participé à des projets collectifs tel que l’émission radio « nées bulles » et l’installation sonore « v’île sonore ». je travail actuellement sur un projet de film documentaire autour d’une communauté Tzigane.
Antoine De Mena
http://antoinedemena.blogspot.com
Yoann Demoz
Assistant monteur sur les Éphémères d’Ariane Mnouchkine en 2008.
Preneur de son sur L’eau salée de Nelly Girardeau en 2011.
Membre de Cinex l’atelier du cinéma excentrique depuis 2010.
Filmographie :
En terrain neutre et libre 2008 14 min.
Lyannaj 2010 35 min.
Match 2011 8 min.
Jeanne Delafosse
Co-réalise avec Camille Plagnet le film +69.
Jeanne Delafosse et Camille Plagnet ont suivi le DESS de réalisation documentaire de Lussas en 2002-2003. Depuis, ils ont mis en place des ateliers de réalisation documentaire avec l’association Son et Image, vécu au Burkina Faso, et réalisé des documentaires et des films de fiction, parmi lesquels Bazar, Le bruit de l’herbe qui pousse, La tumultueuse vie d’un déflaté. En 2010, ils ont coréalisé Changement de situation, un film itinérant à travers le Massif Central.
Nicolas Drouet
Né en 1983, Nicolas Drouet a commencé à s’intéresser au « réel » en suivant un cursus d’anthropologie. Passé par le Master CREADOC de l’université de Poitiers, il poursuit son travail de réalisateur accompagné par le collectif Images en cavale (www.imagesencavale.com).
Boris Du Boullay
Réalisateur depuis 1987, je travaille sur l’idée que le cinéma peut restituer le temps antérieur en lui substituant des traces de l’absence.
Centrés sur l’intime, l’écriture, jouant de l’absurde dans la distance au réel, ces films tentent d’explorer la voie ouverte par Michel Henry sur l’auto-donation (où il n’y aurait plus de distance phénoménologique entre le donné et le donnant).
Fortement marqués par le quotidien, le temps, les images mentales et une quête de sens revendiquée, travaillant sur la vitesse, l’improvisation, l’accumulation et la profusion, 400 films et installations forment un univers, où la visée, la projection, laissent l’intimité loin de moi, comme une dépossession, un tas d’objets abandonné.
Julie Dugué
Je réalise et monte des films autant que faire se peut!
Kristen Falc’hon
Si vous lisez cette page c’est que vous vous demandez « qui c’est ce mec? » ou que vous avez tapé « antenne 2+patate douce+Joe Dassin » dans un moteur de recherche. Dans le premier cas, vous aurez des éléments de réponse. Dans le second, on peut se demander légitimement ce que vous cherchez sur internet…
Côté ciné, en résumé c’est ça :
2001 : Participation à la création de Canal Ti Zef, télévision associative brestoise
et par ce biais, nombreuses réalisation de reportages d’actualité.
2005 – 2007 : Master Documentaire de création à Angoulême (16).
Réalisation d’un documentaire sonore « voyage au centre de l’assiette » et d’un film « sur la route du maquis ». Participation au premier projet « 100 jours » en réalisant « 75% ».
2009 : réalisation de « Carte Postale de Palestine » documentaire.
2010 : Co-réalisation du documentaire « Les 28 de Morlaix ».
2011 : On continue avec Canal Ti Zef, son festival intergalactique, ses ateliers vidéos, ses projections, ainsi qu’une formation de perfectionnement au montage, pour ne rien vous cacher.
Raquel Fernández Núñez
Hailing from Madrid, Spain, where she is one of the few female cinematographers in the entire country, Raquel has shot features, documentaries, commercials and music videos all over the world, including in the U.S., U.K., Venezuela, Morocco, Germany, Kuwait, Guatemala, Italy, Argentina, and, of course, her native Spain, among many others, for companies such as Warner Spain, MTV U.K., MTV España, and Lobo Productions,just to name a few.
Venant de Madrid en Espagne, où elle fait partie des rares femmes chef opérateur de tout le pays, Raquel a tourné des films, des documentaires, des vidéos commerciales et des clips musicaux à travers le monde entier, dont les Etats-Unis, le Royaume-Uni, le Venezuela, le Maroc, l’Allemagne, le Koweït, le Guatemala, l’Italie, l’Argentine, et, bien sûr, son Espagne natale, parmi tant d’autres, pour des compagnies telles que Warner Spain, MTV U.K., MTV España, et Lobo Productions, pour en nommer quelques uns.
www.raquelfernandez.com
Fabien Fischer
Membre de Cinex et du 102 à grenoble
Mickaël Foucault
Né en 1981, Mickaël Foucault, après des études d’histoire est devenu professeur des écoles. Il enseigne actuellement dans une maternelle de la région parisienne. Passionné par le cinéma et la vidéo, il réalise son premier film documentaire en 2010, « A posteriori », sur l’exil de deux Républicains espagnols. Il travaille actuellement à l’écriture d’un long métrage documentaire.
FP
Peu de réalisations à mon actif mais un intérêt certain pour le cinéma et la politique. Il n’en fallait pas plus pour avoir envie de participer à ce projet.
Mahalia Frizon
Il y a presque 10 ans je sortais du DESS réalisation documentaire de Poitiers. Deux ans plus tard, je co-réalise « Mémoires d’un village de campagne » sur le monde paysan (http://memoiresdunvillage.free.fr/). Responsable audiovisuel au sein d’une université depuis peu, je participe de temps en temps à différents projets documentaires.
Face à la difficulté à faire vivre nos films, nous nous questionnions depuis quelques temps, avec Marie Blandin, sur l’émergence de nouveaux moyens de diffusion. C’est ainsi que nous avons monté festival pointdoc en 2010 (festival en ligne de films documentaires : http://www.festivalpointdoc.fr/) afin d’ouvrir le cinéma documentaire au plus grand nombre. L’aventure continue tous les mois de janvier !
Yves Gaonac’h
Élève à l’École Tony Lainé (ex Sables 1), Poitiers, en 1981
Élève au Lycée Aliénor d’Aquitaine, Poitiers, en 1988
Étudiant à l’Université de Poitiers, en 1995
Salarié au Film A Retordre, Paris, en 2002
Intermittent du spectacle, Poitiers, en 2007
Rémi Gendarme
Je n’ai pris l’avion qu’une seule fois, lorsque j’étais enfant. A part à cet âge-là, où je ne me rappelle presque rien, je n’avais jamais vraiment voyagé. Alors en 2008, avec JB nous avons décidé de partir en Norvège. Mais nous avons décidé d’y aller en camion. Après plusieurs jours de route, plusieurs étapes et plusieurs rencontres nous étions à 300 km au nord du cercle polaire. Cette petite ville s’appelait Andenes. Les rues étaient carrées et désertiques, le paysage autour était triste. Une sensation de Ken Loach avec un soleil de minuit.
Nous sommes partis un mois et au retour à Paris le compteur affichait 8000 km.
Je me suis dit que le camion était important.
Parfois il faut le temps que demande la distance.
A part ça j’ai fait des mathématiques et aujourd’hui j’essaie de faire des films.
Franck Gourdien
Nous (avec Jean-Luc Guionnet) travaillons ensembles depuis 1993, à plusieurs projets allant d’une revue d’esthétique (terres des signes) à la réalisation d’essais vidéo. Par ailleurs Franck écrit et Jean-Luc fait de la musique.
Jérémy Gravayat
Les hommes debout – 2010
Vivre Ici – 2008
L’Europe après la pluie – 2006
Un autre jour sur la plage – 2002
La rencontre – 2001
Jean-Luc Guionnet
Nous (avec Franck Gourdien) travaillons ensembles depuis 1993, à plusieurs projets allant d’une revue d’esthétique (terres des signes) à la réalisation d’essais vidéo. Par ailleurs Franck écrit et Jean-Luc fait de la musique.
Thomas Hakenholz
Convaincu de la force sensible que peuvent communiquer les images et les sons, je consacre mon temps à montrer des films des autres (ciné dahdah, primitivi), en fabriquer (Tö tö pegn bampong – 2009, Pas si loin de là – 2010) et faire circuler l’idée, à travers des formations, qu’un cinéma populaire, créatif et engagé est un outil indispensable de nos luttes.
http://cinedahdah.over-blog.org/
http://www.primitivi.org/
Renaud Hauray
Géographe et vidéaste
Daphné Hérétakis
Née en 1987 à Paris, Daphné Hérétakis a fait des études de réalisation documentaire à l’Université de Paris 8. Elle vit entre Paris et Athènes et réalise des courts métrages documentaires-expérimentaux depuis 2008.
Tessa Joosse
Tessa Joosse vit et travaille à Amsterdam où elle fait des court-métrages, de la musique et du décors vidéo pour le théâtre.
Lauriane
Un jour, j’ai plongé dans l’univers du documentaire.
Je ne voudrais plus le quitter.
William Lambert
Toute l’année enfermé dans des salles noires pour régler des lumières et des vidéo-projecteurs de spectacle, je sors à la lumière du jour pour participer à la 2ème aventure des 100jours.
Jérémie Lamouroux
Vit et travaille à Grenoble. Diplômé en sociologie de la culture et en réalisation de films documentaires. Depuis 2007, travaille pour le cinéma documentaire au sein du 102 (salle de cinéma documentaire & expérimental) et de CINEX, l’atelier du cinéma excentrique.
A réalisé Des après guerres, ex-Yougoslavie des paysages après la bataille (2006), Ce que l’on voit maintenant dans les pays du monde (2008), Tout Contre (2008), De la neige en été (2010).
Vincent Lapize
Bla bla master…. bla bla études en sciences sociales… bla bla documentaire de création.
Quelques belles expériences cinématographiques, des rencontres et des moments passionnés me conduisent naturellement vers ce fabuleux projet de 100jours.
J’ai jamais su me décrire alors quelques précisions tout de même :
J’aime les chats et les pizzas
Malheureusement j’ai une intolérance alimentaire aux formes rondes
J’aime aussi le cinéma et la bd (on s’en doute)
Je n’aime pas écrire les CV, les lettres de motivation et les biographies.
Eric Le Lan
Voilà dix ans que j’ai découvert au travers du projet de Canal Ti Zef, la force de la vidéo comme moyen d’expression.
Aujourd’hui je continue de chercher à utiliser la caméra comme un outils d’expression, qu’il soit social avec des documentaires comme les 28 de Morlaix ou bien plus avec en liens des actions d’éducation populaire lors d’ateliers vidéo.
Franck Lecardonnel
Après des études d’arts plastiques, je me suis orienté vers le documentaire au début des années 2000 en intégrant le collectif « sans canal fixe ». Depuis, je réalise surtout des films participatifs et des films d’ateliers.
Juliette Le Roux
Juliette K. Le Roux habite à Nantes et travaille au sein du collectif A brûle pour point http://abrulepourpoint.perso.sfr.fr/
et sur d’autres projets collectifs autour du son et de l’image et des interventions dans l’espace public, notamment avec l’association Mire en cinéma expérimental et Le Lob (laboratoire de l’oreille baladeuse ), LOLAB.
Après des études d’histoire de l’art (Paris1), elle intègre les beaux arts de Rueil Malmaison (2002-2006). Le dessin, l’écriture et la vidéo sont les médiums principaux de sa pratique. Ils prennent formes dans des installations et des performances dans l’espace public . Influencée par l’archéologie, le document et la trace provoquent sa réflexion; « »Qu’est ce qu’une histoire, comment apparait elle ? »"
Elle se questionne sur “la réalité“ et ses modes d’accès, et utilise l’intérractivité dans des dispositifs mettant en scène le spectateur comme acteur et narrateur de ce qu’il regarde.
De plus en plus proche du “cinéma du réel”, Elle intègre le CREADOC à Angoulême (2006-2008). Elle y réalise alors des pièces radiophoniques qui traitent du paysage, autant dans le sujet que dans ses espaces sonores ( Comment partir ou ? 17 mns et Z.A. 28MNS ), puis le film Ce qui arrive, essai documentaire prenant la forme d’un journal filmé qui enregistre la traversée d’un temps présent et la place du narrateur, son rôle face aux images qu’il filme, au monde dans lequel “ça” se passe.
Depuis 2009 elle met en place le projet des ateliers du sol* et travaille à l’écriture d’un film documentaire sur l’aménagement du territoire et la dimension mystique des liens hommes/nature. Elle présente différentes étapes de réalisation , utilisant le son et la performance.
Elle assiste également l’écriture et la production d’autres projets entre art vidéo et cinéma documentaire et reste proche des arts de la scène.
+17 est une forme courte d’un travail en cours, un projet d’écriture sur le paysage et les dimensions intimes qui relient les hommes à la nature.
Il y a là dans ces marais quelque chose de magique qui pourrait presque se toucher. Le cinéma nous permet de toucher ces mondes invisibles qui nous traversent. Cette tentative de cinéma me force à être dans le monde, assumer une position et un regard, un désir.
Zoé Liénard
Réalisatrice et monteuse.
Réalisation :
« 16% », « 17% », « 99% », « 100% », réalisés dans le cadre de la série documentaire 100jours (2007)
« Paroles de filles » dans le cadre du projet « Bon anniversaire Agnès » (2008)
Et en co-réalisation avec I. Taveneau et O. Magniez :
« 1% », « 2% », « 3% » (100jours 2007)
« Il n’y a pas de Colin dans le poisson » (2008)
30 court-métrages autour de l’écrit (écrivains, éditeurs…)
Céline Lixon
Née vers 2000 dans le Sahara – ancrée à Nantes – en transit – ici et là-bas – se fait des films – 135mm – 24×36 – impressions de voyages – image mouvement et mouvement dans l’image – ça fait son chemin…
Mélanie Loisel
Étudiante du Master CREADOC à Angoulême
réalisation de « Sur la Boème » dans le cadre de la formation
rejoint le collectif Sans Canal FIxe à Tours
courts-métrages documentaires et un moyen-métrage en chantier !
Odile Magniez
Espagnole installée à Poitiers je travaille dans une association pour la promotion du cinéma documentaire : Les Yeux d’IZO. Dans ce cadre je réalise des films de commande. Par ailleurs je m’intéresse beaucoup aux formes du cinéma autobiographique réalisant moi-même des films en première personne.
Filmographie sélective :
« Comme le sable… » 2006
« 71% » dans le projet 100jours2007
« Je suis née en automne » 2008 dans le projet « 8 portraits pour Agnès »
Española instalada en Poitiers trabajo en una asociación de cine documental : Les Yeux d’IZO. En ella realizo documentales de encargo. Por otro lado me intereso especialmente a las formas de cine documental autobiográfico, fabricando yo misma peliculas en primera persona.
Filmografía selectiva :
« Como la arena…» 2006
« 71% » dans le projet 100jours2007
« Nací en otoño » 2008 dans le projet « 8 portraits pour Agnès »
Fabien Maheu/Animo Plex
Fabien Maheu est réalisateur, metteur en scène et plasticien. En 1990, il fonde la structure ANIMO PLEX et réalise une vingtaine de spectacles mêlant texte, mise en scène, vidéo et musique. Ces réalisations sont diffusées à l’étranger (Taiwan, Pologne, Tchéquie, Portugal, Finlande). Adepte de l’expanded cinema, il travaille sur les diverses modalités d’expression du flux audiovisuel : films, écrans sur la scène, installations et dispositifs en temps réel. Egalement enseignant chercheur, il collabore à l’école Européenne Supérieure de l’Image (EESI), ainsi qu’à diverses universités françaises (Paris 8, Nanterre, Marne la Vallée, chercheur associé à Paris 7). Spécialiste de Peter Greenaway, il travaille sur le cinéma asiatique ainsi que les nouvelles pratiques mêlant la scène, les écrans, le nouveau cinéma et l’art numérique.
Laurent Marboeuf
Ayant réalisé 23% et 24% en 2007, c’est en toute logique que je signe +25 un lustre plus tard.
Un lustre, et pourtant, pendant cinq ans, très peu de lumière dans le ciel de notre douce France !
« We’ve got five years / My brain hurts a lot / We’ve got five years / That’s all we’ve got! » (Five Years, D. Bowie, 1972). Tout, déjà, était dit.
Pour la petite histoire, je suis un ancien du Master Créadoc.
Erwan Marion
Suite à une licence « Arts du spectacle », Erwan s’oriente vers un master professionnel « documentaire de création » à Angoulême. Il part ensuite s’installer à Rennes en Juin 2009 où il créé la compagnie « Le Dernier Bus » avec Anne FAVRE. « Les nocturnes », premier spectacle de la compagnie, tend à expérimenter un croisement entre le documentaire sonore et les arts de la rue. Il se joue à Rennes fin octobre 2010, et propose aux spectateurs un voyage dans la ville à la rencontre de ceux qui travaillent la nuit .
En parallèle, Erwan s’investit dans le collectif Images en cavale, basé à Paris : captations pour le milieu du spectacle et, en ce moment, cadreur pour le film « premier vote », réalisé par Anne FAVRE.
Maud Martin
J’ai 33 ans. J’habite à Tours. Je fais des films, enfin j’essaye… Je produis des films, enfin j’essaye… Je montre des films, enfin j’essaye…
Adèle Mees-Baumann
Adèle Mees-Baumann a réalisé 65% en 2007.
A.H.M. et Adèle Mees-Baumann réalisent + 74 en 2012.
Loïc Millot
Responsable d’un circuit de cinéma itinérant
Allocataire de recherche, Université de Metz
Thèse sur Pasolini et Tarkovski
Réalisation d’ « »un peuple manque » » (opéra ouvrier).
Damien Monnier
La découverte des « soviets plus l’électricité » de Nicolas Rey lors d’études de cinéma à Rennes et Berlin, puis une année passée dans le documentaire à Lussas. Avec quatre-cinq amis, l’édition de Dérives : revue et dvd, et site internet autour de films et d’auteurs peu montrés, peu vus. Un film tout juste terminé « six faces d’une brique » : dans une cour d’immeubles de Varsovie, des vestiges du mur des ghettos. Habitants et visiteurs s’y croisent. Et puis un travail de projectionniste, des ateliers de cinéma et de la danse.
Pilar Monsell
Pilar Monsell nace en Córdoba en 1979. En 2008, presenta su primer mediometraje documental “Distancias” (28 min), recibiendo el Premio del Público en el Festival dei Popoli 2008 (Italia) y recorriendo varios festivales internacionales. En 2011, finaliza el largometraje documental colectivo “69/78 Prescrit” (87 min) para el que realiza el capítulo “Pan, Trabajo y Libertad”. Actualmente forma parte del equipo de realizadores del Laboratorio de Creación Documental (2009-2013) de Play Doc – Festival Internacional de Documentales de Tui y trabaja en el desarrollo de su próximo largometraje documental.
http://proxemica.wordpress.com/
Pilar Monsell est née à Cordoue en 1979. En 2008 elle présente son premier moyen métrage documentaire “Distancias” (« Distances » 28 min) et reçoit le Prix du Public au Festival dei Popoli 2008 (Italie). Elle participe à plusieurs festivals internationaux. En 2011 elle finit le long métrage documentaire collectif “69/78 Prescrit” (87 min) pour lequel elle a réalisé le chapitre “Pan, Trabajo y Libertad” (« Pain, Travail et Liberté »).
Actuellement elle fait partie de l’équipe de réalisateurs du Laboratoire de Création Documentaire (2009-2013) du Play Doc – Festival international du documentaire de Tui et elle travaille sur son prochain long métrage documentaire
http://proxemica.wordpress.com/
Cédric Michel
Membre de Sans Canal Fixe.
Anne Moltrecht
Membre du collectif Sans Canal Fixe Depuis 2002.
Maxime Moriceau
Monteur de formation, je réalise aussi des films documentaires que j’écris.
Émilie Morin
Je suis une jeune réalisatrice de documentaire, je viens de réaliser le film « à l’heure bleue », rêveries autour des premières heures de la journée.
Olivier Naudin
Après un DESS réalisation documentaire à Poitiers en 1998, je réalise avec mon frère Philippe, un court métrage d’animation en pâte à modeler de 10 mn, « Des puces et des Vieux ». S’en suivent 6 années d’intermittence dans le domaine de l’audiovisuel pendant lesquelles je réalise ou participe à plusieurs films : « Le jour du muguet » -2002- documentaire sur la bibliothèque citoyenne mise en place à Poitiers entre les 2 tours des présidentielles 2002 ; « Les légendes de St Bitochon » – 2002 – co-réal en tant que membre des Sassuphistes associés ; générique en animation de « Billy drunk et Shitty boy » – 2005. De 2006 à 2011, je co-réalise avec Julien Guéret « À l’ombre d’un Nuage », documentaire de 26 mn sur les frères Ferret, musiciens gitans qui ont joué avec les grandes figures des scènes musicales du Paris des années 1930 à 1980. Depuis 2006, je suis salarié de l’Espace Mendès France à Poitiers, en tant que régisseur d’accueil, réalisateur et animateur pour le secteur de création numérique, le Lieu multiple.
Gildas Nivet
Depuis plus de 5 ans, nous travaillons avec la dynamique de faciliter l’accès à la réalisation d’oeuvres audiovisuelles, de documentaire et de fiction.
Nous avons créé en 2007 l’association «Studio Grenouille» dans cette idée. Depuis sa création, nous avons évoluer en créant une société de production.
Nous nous sommes dotés d’un plateau d’incrustation, de matériel de tournage et de post-production, nous avons formé une équipe soudée et enthousiaste.
Notre objectif premier est de faire de Grenouilles Productions le cadre qui nous permettrait de défendre et de distribuer nos productions, mais aussi les projets que nous soutenons dans les réseaux professionnels.
Cyprien Nozières
C’est en haut d’une colline vauclusienne que Cyprien Nozières passa toute son enfance. Entre sa naissance en 1982, et l’année 2000, il développa sous ces astres provençaux, la capacité de faire pousser les plantes en les regardant fixement. Activité qu’il devra abandonner pour se consacrer pleinement à ses études artistiques. D’abord à Marseille, puis dans une obscure ville nommé Poitiers, il se concentra assidument sur les différentes formes enseignées par les Beaux Arts en occident. Curieux d’aller voir plus loin, il partira avec deux amis de longue date, se documenter sur le mystérieux cinéma populaire indien. Ils tourneront à Bombay et à Delhi le documentaire Hello Bollywood. Suite à cela, Cyprien sera accueilli dans la ville de Paris. Là il rencontre des gens qui lui donne des taches à faire : d’abord dans l’édition de DVD, puis dans l’animation, dans le clip et dans la publicité. Aujourd’hui, c’est encore dans les hauteurs, au sommet d’un immeuble parisien où il vit avec sa compagne et un chat, qu’il développe de nouvelles capacités extraordinaires !
Numér0 Zér0
Numéro zéro est un peu le niveau zéro du cinéma selon Eustache, son équation première:
pour faire un film, il suffit d’une personne qui raconte une histoire à une autre.
La caméra n’a qu’a réceptionner cet échange.
Parlant de ce film, Eustache disait : « je n’avais aucune intention en
faisant ce film, j’étais simplement rongé par un mal, et ce film répondait
à ce mal. » Rapport organique d’un cinéaste à son œuvre, Numéro zéro nous
rappelle, en ces temps de cinéma prêt à consommer, qu’il peut aussi s’agir
d’un acte vital et nécessaire, un acte de chair et de sang.
<http://numer0zer0.files.wordpress.com/2011/10/lespassages.jpg>
Numéro zéro est une association marseillaise de fabrication cinématographique.
Il y a les films en commun, l’histoire à écrire, commune.
On espère rien, chercher le filon, pour cela on sait qu’il va falloir creuser, creuser très profond.
Pour creuser il faut de l’argent, des machines et des trucs, si on en trouve pas, on creusera avec les mains, et on en fera des films, de mains.
http://numer0zer0.wordpress.com/
Karel Pairemaure
En 1997, il fonde le groupe Primitivi qui rassemble des activistes audiovisuels et informatiques. Il collabore à plusieurs documentaires et reportages avec la société de production l’Agence Ka.
Il est réalisateur, monteur numérique et il se spécialise dans le traitement graphique des images tout en réalisant de nombreux reportages. C’est en 2001 qu’il co-réalise son premier long métrage documentaire « Don’t clean up the blood » sur le sommet du G8 à Gênes en Italie.
Il rencontre l’équipe d’architectes et urbanistes Pixel 13 avec laquelle il collabore à la création « Le Bulb* » sur l’aspect documentaire mais aussi sur le vidéomix-live. Depuis 2003, il partage toutes les productions du collectif qui mélangent documentaire et vjing dans une forme de télévision originale qui parcours le monde.
En 2006, il fonde Kazart Productions**, une structure audiovisuelle atypique basée en pleine campagne poitevine avec laquelle il continue son travail et développe de nouveaux projets avec des auteurs originaux.
En 2010, il participe à la fondation de la société de production de films documentaires Kamatomi Films, basée à Marseille. Le premier opus de la société est le film « Au prix du gaz »***.
Liens de quelques-uns des travaux évoqués :
* http://www.pixel13.org/bulb/
** www.kazart.net
**** www.kamatomi.com
**** www.engrenage.org
Colin Péguillan
Je suis né à Paris et j’habite à Poitiers depuis une dizaine d’années.
C’est durant mes études d’ethnologie que j’ai attrapé le virus du cinéma documentaire.
Je travaille dans le domaine de l’éducation à l’image et au cinéma. Je réalise, de manière assez sporadique, des courts-métrages documentaires (notamment 97% pour la première édition de 100 jours).
Jean-Gabriel Périot
Baby-Sitter, serveur, vendeur de vêtements, vendeur de souvenirs touristiques, ouvrier sur bateau de plaisance, animateur de supermarché, vendeur de vidéocassettes, télévendeur pour magasin de canapé, assistant sur des ventes aux enchères de faux éléments architecturaux anciens, stagiaire, assistant réalisateur, assistant monteur, monteur, animateur en centres de vacances, secrétaire, programmateur pour chaîne câblée, journaliste, réalisateur, artiste…
François Perlier
Diplômé du Master de réalisation documentaire de l’Université de Poitiers (CREADOC), François Perlier réalise entre 2007 et 2010 différents documentaires pour des institutions ou des associations (Histoire, environnement, formation) ainsi que des courts-métrages documentaires indépendants. Il encadre également des ateliers audiovisuels. Il est co-fondateur de l’association Autour du Doc qui a mis en place en 2012 le festival Microclima, festival de la création sonore et de l’écoute, accueillant des artistes comme Alain Cavalier, Daniel Deshays ou Christian Zanesi.
Depuis 2009, François Perlier est coordinateur, puis délégué général du festival Filmer le travail, dirigeant les trois premières édition du festival.
Il signe début 2012 son premier moyen métrage documentaire produit avec la télévision.
Benoît Perraud
Benoît Perraud vit et travaille à Poitiers. Il tente à travers ses différents essais filmiques de travailler les rapports entre histoire, esthétique et politique. Tout en poursuivant ses recherches personnelles, il travaille comme ingénieur du son et technicien vidéo.
Yvan Petit
Fait des films autobiographiques pour ne pas avoir à écrire de biographie, fait un journal filmé au téléphone portable pour téléphoner moins et se rappeler de ce qu’il faisait l’année dernière, croit qu’Hollywood est un quartier de Bruxelles, hésite encore entre le Super 8 et la HD, mais va finir par se décider…
Sébastien Pierre
Réalisateur et technicien vidéo, j’ai réalisé Un déchet parmi d’autres (mention spéciale du festival d’Aubagne 2007), achève la réalisation de Histoire d’une projection, documentaire sur la découverte d’archives familiales super 8, cadreur sur Coakoo is on the way de Laurent Marboeuf (2009). Co-réalisateur d’un documentaire sonore sur les indignés nantais (2012).
Anne-Sophie Popon
Née en 1977. Après des études de Lettres, © ASo se tourne vers la photographie. Elle intègre alors le studio Espace Lumière (Paris 18) en tant qu’assistante de plateau. Elle croisera des grands noms de la photographie de mode (Mario Testino, Nathanael Golberg, Jan Walters, Mickael Wooley, etc), avant de s’inscrire à l’école de photographie EFET. Assistante photographes pendant deux ans, elle choisit de quitter Paris et l’obscurité des studios pour Marseille. En 2003, premier voyage en Afrique et première expérience documentaire. © Aso participe à la réalisation du film “des abeilles et des hommes” tourné à Badinko, un village situé au bord de la voie ferrée Kayes et Bamako . En 2005, elle embarque à bord d’un bateau de croisière en tant que photographe. Pendant un an, elle sillonne le monde du Nord au Sud, du Pôle Nord à l’Antarctique, en traversant les pays du Grand Nord, de la Méditerranée et de l’Amérique du Sud. De retour à terre, elle participe à la création de l’association BABELXIII. Pour compléter sa formation, elle suit un cursus en journalisme à l’école de journalisme de Marseille. Elle collabore alors avec Rue89, Ouest France, et Radio Grenouille. Dans le même temps, elle se forme à la vidéo et s’engage sur la voie du documentaire. Depuis, elle a collaboré à la réalisation d’un film chorégraphique tourné à Bamako (Mali) avec la Cie SB03. En 2011, © Aso réalise son premier film documentaire intitulé A bè don kè, Elle danse. Tourné au Mali / Bamako, le film interroge le travail mémoriel de l’oeuvre chorégraphique du point de vue du spectateur. La même année, elle assiste Joris Lachaise à la réalisation du film Convention / Mur noir – Trous blancs sélectionné aux Etats généraux du film documentaire de Lussas 2011.
Marthe Poumeyrol
Après des études de cinéma entre Bordeaux et Paris pour l’une et Barcelone et Bordeaux pour l’autre, nous venons d’achever toutes deux le master CREADOC.
Vincent Pouplard
Né nu dans la mer en 1980 – vit au même endroit qu’elle – sur le chemin – en silence – image fixe comme point de départ – 24images – 36 parfois – digressions intimes – à l’écoute des mouvements – en mouvement…
Julia Rostagni
Elle est née en 1987 à Marseille. Elle quitte la Cité phocéenne à 18 ans pour poursuivre ses études à Paris. Elle obtient une licence d’art et technologie à l’Université de Marne-la-Vallée où elle se passionne pour l’image, sa poésie, ses ouvertures et ses possibilités de création. Elle s’investit aussi dans l’association Regarde à vue, qui a pour but la production de vidéo diffusée sur internet. Ainsi son chemin se dirige vers l’Argentine où elle tourne son premier documentaire, A la sombra del Oro. (2010)
Laghia Sanz
Je suis : une femme, de bientôt 40 ans, mère de deux enfants, formée à l’ethnologie et aujourd’hui documentaliste.
J’ai vécu : à Paris, à Malakoff, en Martinique, à Agen, Bordeaux, Laroque Timbaut, Fumel, Antony, au Laos, à Poitiers.
J’aime : les autres. Et aussi la politique.
Je n’aime pas : les préjugés tenaces.
Le Sens de la Visite vous propose une promenade balisée au coeur de la Belle Endormie, berceau du commerce triangulaire, vieillie en fût de chêne. Le terroir qui vous accueille est à la fois pittoresque et contrasté, peuplé d’autochtones hauts en couleurs, incarnant un panel humain complexe entre tradition et conservatisme, propriété et propreté. Suivez le guide et ne vous éloignez pas du parcours fléché.
Paul Sergent
Il creuse, il creuse…
Clio Simon
« Clio Simon vit et travaille à Paris, comme partout ailleurs. Son travail d’artiste se situe à la charnière entre le cinéma documentaire et la vidéo. Majoritairement ancrée dans l’image mouvante, elle investit de manière complémentaire et transversale une diversité de disciplines tels l’installation, l’émission radiophonique, le son, le théâtre de marionnette… En 2009, elle réalise un essai documentaire intitulé « Faites vos je ». En 2010, « Valores » est une installation vidéo réalisée dans le cadre d’une résidence artistique de six mois au Chili, à Valparaiso. En 2012 elle part pour le Désert d’Atacama du Chili. Accompagnée par Sergio Nahuel à l’image, et Felix Blume au son elle réalise les prémices de « Camanchaca // Notes pour un Film à venir ». Son identité artistique s’est résolument échafaudée à partir du « mot », de la parôle construite, répétée, coupée. Bâti dès l’origine autour des notions de répétition et variation son travail s’est développé en mettant en relation la représentation, la mise en scène, le décors et le jeu inassouvi de la répétition. Aujourdhui, elle construit des interactions entre l’image mouvement et d’autres disciplines telles le théâtre, la littérature et la création sonore ». Chloé Gallen
Isabelle Solas
Des langues étrangères, de l’anthropologie, puis un constat : on ne parle pas des autres sans parler de soi, alors autant l’assumer : je rentre à Lussas, pour me former au cinéma documentaire.
Aujourd’hui je fais de l’image et des films.
Je m’intéresse particulièrement aux endroits clos, et à l’évolution des personnes dans ces espaces.
Lieux de vie, lieux abandonnés, lieux de passage ou de transit, ce sont souvent les points de départ des récits que j’ai envie de raconter,
les terrains propices aux rencontres avec les gens que je filme.
David Sorin
Après quelques pérégrinations de voyageurs, je me suis intéressé au cinéma documentaire à partir de 2006…
Après quelques films (entre autre une participation à 100jours2007) et objets vidéos divers, je suis heureux de participer à l’aventure 100jours2012 de l’intérieur, et en faisant un film où je compte renouer avec les images de voyage…
Isabelle Taveneau
Avant : des études d’histoire, de documentation, un emploi dans un centre audiovisuel, divers engagements,
Et une reprise d’études plus tard, le premier 100jours.
Depuis : la création des Yeux d’IZO, la co-réalisation de nombreux courts métrages documentaires, un certain plaisir à transmettre mon goût du cinéma, un film en cours évoqué dans +1 et… le nouveau 100jours !
Carole Thibaud
Du film documentaire à l’installation, de la pellicule à la programmation informatique, le travail de Carole Thibaud est une exploration de l’image à travers ses multiples supports et applications.
Membre de plusieurs associations Nantaises (Mire, Makiz’art, PiNg), son parcours est marqué par de nombreuses collaborations, que ce soit en tant que technicienne ou en tant que vidéaste. Cette soif de rencontre lui permettra d’être invitée à participer à divers projets collectifs et ainsi d’être confrontée à de nombreux univers.
Quasi quotidiennement, elle saisit sur pellicules des bribes de ses errances et contemplations, collectant ainsi les images, formant une mémoire argentique, fragile et fragmentée. Les films sont stockés, presque oubliés… Puis commence un long travail de montage, de découpes nombreuses, d’interventions. La pellicule est grattée, griffée, rongée par les chimies. Les paysages se diluent, se liquéfient comme les souvenirs s’estompent, jusqu’à ce que le film casse.
Tv Bruits
Tv Bruits est une télévision locale indépendante à vocation régionale, associative et non commerciale composée d’individus (bénévoles) et d’associations.
Web tv : Après plusieurs diffusions hertziennes pirates ou autorisées, Tv Bruits est aujourd’hui une Web tv.
Alternative : Tv Bruits se veut différente des chaînes dominantes du secteur « publico-commercial ». Loin de tout formatage, son but est de favoriser l’émergence et l’échange d’une parole citoyenne, de favoriser la création.
Libre et indépendante : Tv Bruits ne dépend d’aucun pouvoir politique – économique.
Emancipatrice : Pour devenir acteur et participer à son propre média, chacun peut venir et proposer des films ou des projets.
Delphine V. Lambert
Après de nombreux détours professionnels, je suis actuellement la formation à l’écriture et à la réalisation de documentaires de création à Angoulême – C R E A D O C -
Premiers pas donc…!
Laurène Vitoux
Après des études de réalisation de documentaires au CREADOC, à Angoulême, je travaille comme réalisatrice audiovisuelle à l’université de Lille, tout en menant des projets personnels de documentaires en parallèle.
Jonas-Raoul Witsch
Après des études de Philosophie (Universität Hamburg) et un master en « »documentaire de création »" (Université Poitiers) Jonas a passé une année en Cisjordanie pour approfondir ses connaissances de la situation politique en Palestine. Au cours de ce séjour, Jonas a d’abord travaillé pour le projet Cinema Jenin, avant de gérer la coordination du Bibliobus lancé par le Centre Culturel Franco-Allemand de Ramallah. En parallèle, il a poursuivi ses projets de documentaire, de fiction et de film institutionnel.
En ce moment Jonas fait l’Atelier Ludwigsburg-Paris : une formation pour des jeunes producteurs européens.
Franck Wolff
Quelques films super 8 dans les années 90, des courts documentaires pour les programmes de Sans Canal Fixe à partir de 2000…et un long distribué par la Famille digitale, Université, terre d’asile.
Eddy Yogo
Réalisateur/Cameraman
Né au cameroun le 11/09/1979 à Libamba.
Trois courts metrage déjà réalisé: Ultime recours, Terre d’accueil, 99 jours pour le voleur…
Stan Zambeaux
Short filmography:
-M.A.C.O , 2011
-Sélection au festival Traces de Vies de Clermont-Ferrand / Novembre 2011
-Sélection au festival international d’Aix en Provence / Décembre 2011
-Recardo Muntean Rostas , 2010
prix du documentaire BIFE – Tunis – Tunisie
Mention spéciale au festival de Cortopotere – Bergame – Italie
Prix des auteurs SACD/SCAM Media 10/10 – Namur – Belgique
Prix du public SCAM au festival de la V.U.B 2010 – Bruxelles
Prix de la diversité A.C.S.E au festival Traces de vies – Clermont-Ferrand – France
Prix du public et du jury catégorie « Première création » au festival Point’doc Paris 2011
Mention du jury et mention spéciale de l’équipe au festival Inconnu – Paris – 2011
Sélection au festival international de Belo Horizonte – Brésil – Octobre 2011
Prix des centres culturels au festival « filmer à tout prix » – Bruxelles – Novembre 2011
-Dare Waté Yacouba , 2009
sélection festival des films d’Afrique et des îles – La Réunion en 2010
sélection Nouzah Fennia Festival de Casablanca en 2011
-9ème Nord West, 2007
-Dans la peau de Craouch, 2006
-Rêve d’un ailleurs, 2005
Natalia Zuluaga-Ospina
Realisatrice quand le boulot me laisse un peu de temps, photographe si je suis contente de mes clichés, désireuse de trouver le temps et l’argent pour faire mieux et plus, et piqué d’envie de faire du son de manière personnel abstraite et subjective.