Fils :
Rien ne sert de craindre ou d’espérer, il faut trouver de nouvelles armes.
Fils :
Récemment en passant dans une gare, sur le quai, j’ai vu le panneau d’avertissement suivant : « Ne touchez pas aux fils même tombés à terre »…et bizarrement, j’ai lu , entendu, le S de FILS…
Un travail d’auteur.
La forme n’est pas au service du message. Elle en fait partie.
“Nous avons tant à faire… mais c’est une autre histoire”
c’est cette historie là que j’aurais voulu entendre puisque finalement, l’autre nous la connaissons tous…
merci, cela résume parfaitement la situation que nous vivons tous, et ce que l’on craint pour nos enfants c’est qu’ils n’aient pas d’espoir! mais il faut garder l’espoir c’est ce qui nous pousse à la lutte!
Eh! Faut pas faire d’enfants si on n’a que ça à leur dire!
- »Fils, sachez qu’ici on enferme même les enfants »
- »Merci papa, bonne nuit »
« c’est cette historie là que j’aurais voulu entendre puisque finalement, l’autre nous la connaissons tous… »
Ben non, justement, nos enfants ne la connaissent pas encore. J’ai bien envie de montrer ce film aux miens. Mais j’hésite…
Quant à la suite de l’histoire, comme elle n’est pas encore écrite, elle va être difficile à raconter, même pour un vidéaste talentueux.
« Eh! Faut pas faire d’enfants si on n’a que ça à leur dire! »
Je ne crois pas que ce soit les seuls mots du film.
Je me surprends parfois à baisser le son des infos à la radio pour pouvoir faire une médiation entre le message AFP à peine modifié par la rédaction journalistique et mes enfants.
Ça me permet d’évoquer et discuter des sujets lourds plus confortablement.
Et puis j’adore le « Faut pas faire d’enfants… »
Oui, mettre au monde un enfant est un truc un peu fou. Il faut assumer à la fois la folie de l’acte et de ses conséquences, et la folie du monde dans lequel nous avons l’ambition de l’éduquer.
C’est devenu un défi permanent.
Ah, et puis il faudra que je pense à dire à mon fils qu’ici, on enferme les enfants.
Désolé, j’avais pas vu la petite flèche « Répondre ».
Fils :
Rien ne sert de craindre ou d’espérer, il faut trouver de nouvelles armes.
Fils :
Récemment en passant dans une gare, sur le quai, j’ai vu le panneau d’avertissement suivant : « Ne touchez pas aux fils même tombés à terre »…et bizarrement, j’ai lu , entendu, le S de FILS…
Un travail d’auteur.
La forme n’est pas au service du message. Elle en fait partie.
“Nous avons tant à faire… mais c’est une autre histoire”
c’est cette historie là que j’aurais voulu entendre puisque finalement, l’autre nous la connaissons tous…
merci, cela résume parfaitement la situation que nous vivons tous, et ce que l’on craint pour nos enfants c’est qu’ils n’aient pas d’espoir! mais il faut garder l’espoir c’est ce qui nous pousse à la lutte!
Eh! Faut pas faire d’enfants si on n’a que ça à leur dire!
- »Fils, sachez qu’ici on enferme même les enfants »
- »Merci papa, bonne nuit »
« c’est cette historie là que j’aurais voulu entendre puisque finalement, l’autre nous la connaissons tous… »
Ben non, justement, nos enfants ne la connaissent pas encore. J’ai bien envie de montrer ce film aux miens. Mais j’hésite…
Quant à la suite de l’histoire, comme elle n’est pas encore écrite, elle va être difficile à raconter, même pour un vidéaste talentueux.
« Eh! Faut pas faire d’enfants si on n’a que ça à leur dire! »
Je ne crois pas que ce soit les seuls mots du film.
Je me surprends parfois à baisser le son des infos à la radio pour pouvoir faire une médiation entre le message AFP à peine modifié par la rédaction journalistique et mes enfants.
Ça me permet d’évoquer et discuter des sujets lourds plus confortablement.
Et puis j’adore le « Faut pas faire d’enfants… »
Oui, mettre au monde un enfant est un truc un peu fou. Il faut assumer à la fois la folie de l’acte et de ses conséquences, et la folie du monde dans lequel nous avons l’ambition de l’éduquer.
C’est devenu un défi permanent.
Ah, et puis il faudra que je pense à dire à mon fils qu’ici, on enferme les enfants.
Désolé, j’avais pas vu la petite flèche « Répondre ».
En tout cas, jusqu’ici, mon film préféré.
à diffuser dans les écoles !
Le Monde est ce que nous en faisons !