Archives pour la catégorie Films

8 réflexions au sujet de « +11 »

  1. C’est valable pour l’ensemble du corps électoral, cette fois. Nous sommes malades, gravement malades, et chaque programme propose un remède. Il n’y en pas beaucoup qui contestent la maladie. Il y a Mélenchon, mais je n’oserai jamais voter pour lui, parceque on sait jamais, ça se trouve on est vraiment malade.

  2. Oui, les soignants et autres associations sont instrumentalisés et alimentées, juste ce qu’il faut, pour contenir les plus malades, et les tenir à l’écart d’une société toujours plus individualiste. Il n’y avait pas meilleur recette pour cette politique pathogène.

  4. « Le vote ne sert à rien mais la lutte continue », mais elle est où la lutte dans le fait de dire et de redire, et d’être content de dire, et t’entendre dire que le vote ne sert à rien?
    Quand on croit ça, pourquoi ne pas abandonner tout propos sur le vote, et aller là où se passe quelque chose ( plutôt que rien) ?

  5. « Elle est où la lutte ? » une partie est dans bon nombre  de films que font Tv Bruits et d’autres collectifs de réalisateurs en France et en Navarre. Le thème des 100jours c’est les élections, donc on en a parlé (on est très discipliné comme collectif)

  6. eh non le thème de 100jours ce n’est pas les élections…Les élections sont un prétexte, un décor ; et le thème c’est plutôt le /la politique, qui n’est pas réductible aux élections..(mëme si elles ont font aussi partie)
    Enfin moi je dis ça, je dis rien, c’est un peu ce qui écrit dans le manifeste quoi !

  7. Les images des bassins vides sont suffisantes pour dire le désarroi des ouvriers, non? Super chouette court métrage.
    Pour le reste les journaux locaux font leur boulot….

6 réflexions au sujet de « +10 »

  1. C’est bien, c’est beau.
    Et puis on ne le voit pas, on ne le nomme pas, et pourtant on le reconnaît tous.
    Et on se souvient qu’il a dit « le travail rend libre » ( oui, il l’a dit)
    Et ces salariés, en lutte qui essaient de défendre encore quelque chose, leur survie, et ces enfants après eux…

  3. « Il »avait dit qu’il allait « réhabiliter le travail ». Puis les sidérurgistes furent « vendus comme du bétail », dit un ouvrier. « Il » a réhabilité  le travail des banquiers, des spéculateurs, des capitalistes;  c’est le seul travail magnifié de nos jours; le travail du capital qui circule. Contre les travailleurs. Oui, « le peuple manque » (ou « la classe ouvrière manque ») dans les discours politiques dominants.

  4. 100jours c’est aussi 100nuits : retrouvez les créations 100nuits du jour en cliquant sur le logo 100nuits. A l’affiche aujourd’hui :  » -90 sans″,  » -90 Sarko « ,  » -90 incorrecte seringue″, « -90 À la rencontre des Français 1″

  5. Ne pas oublier l’histoire
    Ne pas oublier les faits
    Ne pas oublier de se retourner
                      pour apprendre à bâtir l’avenir
    UTOPISTES, AU BOULOT !

2 réflexions au sujet de « +09 »

  1. « L’espoir fait vivre »… Et voici un nécessaire témoignage… Ils sont nombreux les opprimés, les dominés de ce système. Il faudrait n’en oublier aucun dans les luttes pour l’émancipation.

  2. 100jours c’est aussi 100nuits : retrouvez les créations 100nuits du jour en cliquant sur le logo 100nuits. A l’affiche aujourd’hui : « -91 Les gommes de 2007″, « -91 Invisibles », « -91 Collage #1″

6 réflexions au sujet de « +08 »

  3. Ah, la Norvège! Mais pourquoi faire du vélo sur une piste de ski de fond? Pourquoi dire du mal de Disney? Pourquoi cette rage contre les hôtels? Pourquoi faire nuit à 15 heures?
    Etrange.

  4. je pense que c’est ce qu’on ressent tous dans notre vie quotidienne, je comprend cette ironie, on se lève tous pour aller faire des boulots qui ne nous plaise pas, et qui ne correspondent pas à nos conviction mais il faut manger alors on se le fait en se pinçant le nez,perso, les élections éveillent en moi tous les 5 ans des vagues d’espoir!
    vidéo surprenante!

  5. eh Gaston! y’a quand même vachement de pose clope dans le monde de Disney!
    T’as tourné tout ça sur la route en Vichy et Etroussat et tout le monde croit au coup de la Norvège… Bluffant!

10 réflexions au sujet de « +07 »

  1. Fun. Sommes-nous les fondateurs immatures ? Sommes-nous les jeunes loups? Comment et pourquoi jouer le jeu ?

  2. Il s’agit donc bien d’un espace où, malgré tous les aléas de la projection, les questions essentielles restent les mêmes. S’investir, donner, s’engager, perdre, détruire. Assumer ses convictions et prendre ses responsabilités. L’histoire, les actions, le temps, reconnaître l’autre, faire un « putsch », prendre la place de, détourner. Séduire, commander. Le collectif et le leader. Partir… Finalement ce jeu de rôle n’en est que plus ludique et moins virtuel, c’est le nôtre.
    La douce mélancolie qui s’échappe du déclin d’un rêve numérique… Merci.

  3. En même temps ça peut inquiéter: n’importe quel domaine, y compris les plus futiles, peuvent devenir des abris pour des « actions politiques » qui ne s’expriment plus du tout ailleurs. Ou comment, face à la dépossession, on se recrée des champs de contrôle et de compétences virtuels.

  4. Là, franchement le rapport entre la société réelle et virtuelle est un peu alambiqué…
    Pourquoi pas un film sur la décroissance tant qu’on y est…

  6. La vie est un jeu où chacun recrée son microcosme personnel pour essayer de trouver sa place et tenter d’accoucher de ses propres règles fantasmées, qui, au final, s’avéreront n’être qu’un ersatz des règles de la vie elle-même

  7. je reste assez intrigué, moi qui ne connais RIeN à l’univers des jeux en ligne…j’ai seulement un peu peur de la dématérialisation de l’existence, avec l’évocation dans ces « interviews » de types et de niveaux de compétences qui caractérisent les « êtres » que l’on côtoie…glups…

  8. Moi j’ai trouvé ça super, la matrice vue comme un jeu, un jeu de miroirs avec nos propres reflets…Anarchy is not dead! un petit coup de maître!

  9. Anarchy??? Mais elle est où l’anarchie dans ce groupe de mec qui veut de la compet’ et qui fait des putsh, dans lequel on fait de la lèche et on a besoin d’un leader charismatique…

  10. je trouve ce film fascinant, avec le côté inquiétant et séducteur que traduit ce mot.
    J’y vois comme une sorte de répétion dans le virtuel des relations au quotidien : l’enfermement dans la chronologie ; la peur de l’Autre ; les petites stratégies qui en découlent ; les frustrations assurées ; la négation de désirs plus profonds, en rester à l’écume des choses.
    Un bon film un peu glaçant.

5 réflexions au sujet de « +06 »

  1. Bien Max! J’ai adoré. La progression de passer des objets aux personnes… tous les messages que tu nous montres du metro. Ça donne à refléchir, la liberté qui s’échape, le fait que les gens peuvent sortir de « cette société »… la fin… Bravo! Je trouve que c’est une belle proposition pour 100jours!

  3. belle ballade dans les réflexions des transports en commun.
    J’y vois comme un écho au « magic bus » d’Otto T. sur 100nuits, c’est bien quand le jour et la nuit se répondent par surprise.

  4. oooh! je ne sais trop quoi dire si ce n’est : comme c’est bien vue!! merci pour ce court qui en dit long!
    bisous caresses d’Angoulême!!

8 réflexions au sujet de « +05 »

  3. Intello ?
    Je trouve ça poseur.
    Ras le bol des « à la manière de », ras le bol de Godard, de Marker, de Van der Keuken, arrêtez de réciter votre bréviaire, et émancipez-vous, les mecs, montrez-nous vos tripes !

  4. ouh la grolouis, un peu présomptueux comme commentaire, tu cites des noms qui ont fait beaucoup, tu les rejettes et tu réclames des tripes, et quoi ?
    s’approprier les gammes, les transformer, les transcender, surtout quand elles demeurent d’une incroyable complexité, sentir l’air du temps, personnellement ce film me parle, me touche, les tripes elles sont là, flagrantes, dans le geste d’assumer un héritage, et de le porter un peu au delà, triste que tu ne le vois pas,

  5. au dela de la querelle esthetique, j’entend, je vois, le traité de Lisbonne est une horreur, comme la torture qui consiste a maintenir une tete sous l’eau, le seul qui en cause mehhhlentchonchon

  6. Bonjour,
    Jeudi dernier dans la nuit, j’ai posté 3 commentaires fort désobligeants sous le nom de « Grolouis », ce qui était très stupide de ma part, et je prie les auteurs commentés de bien vouloir m’excuser.
    Comme quoi la forme aussi est importante quand on veut faire passer un message, et il ne faut jamais poster de commentaires quand on est fatigué.
    Continuez à faire des trucs biens et à la prochaine.
    Otto T. / Thomas Dupuis / Grolouis

  7. Ronn pschiii ronn pschiiii

    « -Notre faute, notre très grande faute… »
    Hein ? Quoi ? C’est fini ?

    Ronn pschiii ronn pschiii

  8. A présent j’en suis sûr, pour les réalisateurs-trices de documentaires, la fiction est un cas particulier du documentaire.

Une réflexion au sujet de « +04 »

  1. Il y a une tentative, des choses qui se dessinent timidement …
    mais très sincèrement, je n’apprends et ne découvre rien à travers ce film. Pourquoi avez vous utiliser l’outil cinéma ? Je vous pose cette question car je me la suis posée en regardant votre film ?
    Deux choses en fait : le propos, le discours des gens n’a rien de vraiment intéressant ; on les a entendu 400000 fois ces discours, et en plus ici non incarnés, plaqués sur des images qui ne disent rien de plus. Et la musique qu’apporte t-elle ?
    Et j’en viens à la deuxième chose : qu’est ce que ça veut dire de participer en tant que cinéaste à un projet comme celui-là, que je trouve tout à fait intéressant car porteur d’une belle énergie et qui questionne la pratique cinématographique (collective et militante) mais aussi nous et notre monde ? Qu’est ce que c’est qu’avoir une idée en cinéma ? Qu’est ce que c’est que proposer un film court à un public d’internautes (et pas que, puisqu’apparemment il y aura des diffs en salles, dans des cafés…)?
    Je me pose toutes ces questions en regardant votre film … car je n’y trouve pas de regard créatif. Et je ne ressens rien en le visionnant.
    Et pourtant il me semble que ce serait là votre force … de « mettre en oeuvre un décalage »

7 réflexions au sujet de « +03 »

  1. Bien joué Nico et Mick…très beau petit portrait… (c’est marrant, j’ai eu aussi quelques problèmes d’autorisation)

    À plus tard et, ne lâchons rien…

  2. Petit à petit les lieux qu’il est possible de filmer se restreignent. On savait pour les élevages de poule, les usines et la Syrie; maintenant les supermarchés, les zones commerciales, demain les rues piétonnes?

  5. Très beau portrait (d’une belle et juste lutte). Les plans de Rungis au petit jour sont de toute beauté. Bravo et merci.

  6. C’est vrai que cette ouverture est belle. Et le petit utilitaire au milieu de ces gros camions…

  7. Retrouvez aussi les créations 100nuits du jour en cliquant sur le logo 100nuits. A l’affiche aujourd’hui : « Rebelote », « DSK » et « Incorrecte seringue ».

7 réflexions au sujet de « +02 »

  1. wahou… Mieux qu’american beauty… le niveau de ces 100 jours est visiblement très haut et sans frontière. Du bonheur!

  4. je suis heureuse de voir que partout ça bouge et que les gens commencent à ouvrir les yeux sur la situation, que les peuples veuillent reprendre le pouvoir, magnifique film qui ne laisse pas indifférent!

  7. Heureusement qu’il s’agit d’ironie oui ^^ Mais venant de ce projet, il n’est que peu nécessaire de le rappeler ;) Je crois qu’on est tous ici favorable à une décroissance et une mort du capitalisme :)