Archives mensuelles : février 2012

-79 Amor de Madre

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Par Juanma Ferreira Morgazo

(Domingo 12 de febrero de 2012. Madrid. Casa familiar. 15h50 horas. Sobremesa.)

HIJO: Mamá, ¿qué te parece la nueva reforma laboral que comentaron el viernes?

(Silencio y miradas)

MADRE: Yo no digo nada.

HIJO: ¿Nada?

MADRE: No. (Silencio). ¿Te ha gustado la carne que le he puesto a la empanada?

HIJO: Estaba muy buena.

MADRE: Pues con lo que sobró, te he hecho un guiso. Luego te lo preparo en un tupper y te lo llevas para comer esta semana. Lire la suite →

-80 Suite murale 3

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Par Raymond Bozier

– Plantes (Cf. Lierre, cit. 1), fougères des murs. Cloportes

des murs*.

L’origine du mot cloporte est incertaine. On sait par contre que cet animal crustacé malacostracé vit de préférence dans les lieux sombres et humides et qu’il se nourrit de débris organiques. On les trouve souvent sous les pierres, dans les caves et coins obscurs de l’habitat humain. On pourrait dire des spéculateurs qu’ils sont les cloportes de l’espèce humaine. Lire la suite →

-81 Republik Pop 1° semaine

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Par Bob Cougar

 » REPUBLIK POP:  Sommes nous encore en capacité de rêver la république? Peut elle encore être support de rêveries, de fantasmes, d’idéal, y a t-il toujours un mythe républicain?  Il est possible que la république éveille aussi des cauchemars sécuritaires dernier cri, et fascistes old-s’cool… Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas collé d’affiches dans les rues de ma ville. Et l’idée de mélanger culture pop et icônes républicaines me travaillaient… et aussi la possibilité de laisser aux passants la possibilité d’interagir avec mes images, pour ainsi leur permettre d’exprimer le plus simplement possible ce que leur évoque ces images d’une république « en décalé ». Une république PoP, une sorte d’écran intermédiaire sur lequel il est plus facile de s’appuyer pour s’exprimer, car décalé, fou, à distance de la réalité mais s’en inspirant….
J’avoue que je ne sais pas si les affiches vont tenir le coup: la ville ( et qui dans la municipalité) a commencé depuis peu à « criminaliser » les affichages dit sauvage, des employés municipaux chassent affiches et graffiti sans faire de différences, la neige et la pluie rodent, et certains passants malveillants arrachent  ce qui dépasse pour le simple plaisir de faire crier le papier… et en période électorale, rien ne peut contrer le raz de marée de tracts, brochures et affiches… et il recouvre tout, même les affiches d’art ( bien sur) 
Voici les photos des affiches collées un soir de grand froid. Des bulles ont été prévues pour recueillir le commentaire des gens, qui sont invités à faire parler les personnages. Je suivrais l’évolution des affiches et vous tiendrais informé.

Enjoy

Bob Cougar vous salue bien! »