-49 Dans un violon

Par L.L. de mars

3 réflexions au sujet de « -49 Dans un violon »

  1. … les raccourcis sont un moyen habile pour aller d’un point à un autre, mais parfaitement catastrophiques dès lors où ils concernent la manière de penser le monde et son histoire.

  2. J’ai envie de vomir. Je ne sais pas si c’est la grippe ou l’humanité! C’est grave docteur?

  3. Comme je l’écrivais à une amie qui s’étonnait du didactisme monolithe de ce film, je l’ai réalisé essentiellement pour des questions de santé personnelle et pour me débarrasser à vie de certaines catégories de casse-couilles ; à force d’avoir tenté d’expliquer ça toute ma vie sans didactisme (que la notion de patrimoine culturel est une connerie repoussante, que le sentiment collectif se fonde sur des approximations et des réductions vaseuses et que les artistes ne sont pas les commentateurs du monde mais ses inventeurs), hé bien j’ai constaté que ça ne rentrait pas. Jamais. Et que je me fatiguais bien inutilement. Au moins, là, c’est clair, et si d’avenir on me pose encore des questions à la con sur les liens entre l’art (la vie) et la culture (le cimetière), je n’aurai qu’à dire « allez voir ce film et foutez-moi la paix ». Amen.