Ah, j’aime bien ces pages! Belle présentation de l’expérience d’Herpès comix, et de ton sentiment sur le sujet.
On commence à comprendre ce que c’est que le 23. Et les problématiques que rencontrent bien des lieux alternatifs dans le genre.
D’ailleurs il y a un article assez pessimiste à ce sujet dans un magazine indépendant local parisien, http://www.le13dumois.fr/ mais c’est un journal en papier, donc l’article n’est pas sur leur site.
En gros ils prennent acte de la perte de vitesse des squats -surtout dans Paris intra-muros, avec pression policière et surveillance renforcée- qui seraient majoritairement des agrégats de punks artistes cultivant l’entre-soi, au profit des « fabriques », lieux plus officiels, en tous cas légalisés, investissant la banlieue avec l’aval et les subs des institutions locales, et une plus grande ouverture au public.
Ce qui en soi n’est pas mal, mais le point de vue de la journaliste est un peu simpliste dans l’opposition squat/fabrique sans souligner les liens (les personnes qui font lien) entre les deux. et donc dresser la fin de l’ère des squats parce qu’on en a visité un manifestement en perte de vitesse/subsistance, c’est un peu condamner aussi les « fabriques », à terme. Elles ne viennent pas de nulle part. Oui, si elles ne viennent que d’une volonté et d’une équipe municipale, départementale, régionale, il faut les appeler Centres culturels, ou MJC. Hé, je dis pas ça pour me moquer, c’est très bien les MJC aussi.
Arh, j’ai vraiment l’impression d’avoir mis le doigt dans un engrenage bien complexe!
On peut difficilement avoir un point de vue manichéen sur le sujet et les discussions que j’ai avec les gens du 23 me le prouvent à chaque fois.
Je veux bien lire cet article, tu me le mets de côté? Merci!
Ah, j’aime bien ces pages! Belle présentation de l’expérience d’Herpès comix, et de ton sentiment sur le sujet.
On commence à comprendre ce que c’est que le 23. Et les problématiques que rencontrent bien des lieux alternatifs dans le genre.
D’ailleurs il y a un article assez pessimiste à ce sujet dans un magazine indépendant local parisien, http://www.le13dumois.fr/ mais c’est un journal en papier, donc l’article n’est pas sur leur site.
En gros ils prennent acte de la perte de vitesse des squats -surtout dans Paris intra-muros, avec pression policière et surveillance renforcée- qui seraient majoritairement des agrégats de punks artistes cultivant l’entre-soi, au profit des « fabriques », lieux plus officiels, en tous cas légalisés, investissant la banlieue avec l’aval et les subs des institutions locales, et une plus grande ouverture au public.
Ce qui en soi n’est pas mal, mais le point de vue de la journaliste est un peu simpliste dans l’opposition squat/fabrique sans souligner les liens (les personnes qui font lien) entre les deux. et donc dresser la fin de l’ère des squats parce qu’on en a visité un manifestement en perte de vitesse/subsistance, c’est un peu condamner aussi les « fabriques », à terme. Elles ne viennent pas de nulle part. Oui, si elles ne viennent que d’une volonté et d’une équipe municipale, départementale, régionale, il faut les appeler Centres culturels, ou MJC. Hé, je dis pas ça pour me moquer, c’est très bien les MJC aussi.
Arh, j’ai vraiment l’impression d’avoir mis le doigt dans un engrenage bien complexe!
On peut difficilement avoir un point de vue manichéen sur le sujet et les discussions que j’ai avec les gens du 23 me le prouvent à chaque fois.
Je veux bien lire cet article, tu me le mets de côté? Merci!